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Pourquoi j'ai écrit
SOUS LE SIGNE

DE LA VENGEANCE

J’utilise toujours la liberté d’écriture du polar pour dénoncer les travers de la société et les comportements déviants de certaines personnes. « Sous le signe de la vengeance » n’échappe pas à cette particularité commune de mes polars.

J’ai subi il y a quelques années une période d’opérations où quatre fois en une dizaine de jours j’ai dû être endormi au bloc opératoire par le même anesthésiste. Ayant appris que j’étais auteur de polars, il m’avait dit en souriant, qu’il serait vigilant à ce que je ne place pas un anesthésiste dans la peau d’un assassin ! Ce que je me suis empressé de faire bien entendu ! Et bien sûr il a eu droit à une dédicace amicale personnalisée !

J’aime bien évoquer aussi les travers de la société qui me font réagir. Je suis hostile à l’élevage intensif industriel destructeur de l’environnement. L’un de mes personnages est un notable lozérien qui veut implanter une telle ferme dite « des mille vaches » sur le plateau de l’Aubrac. Cela me permet, comme j’en ai l’habitude, de décrire cette belle et sauvage région que j’ai eu le plaisir de découvrir lors d’un tour de l’Aubrac. Mes lecteurs savent que je suis très attaché à la description des lieux et décors.

Professionnellement j’ai rencontré des personnes sourdes et étudié leurs processus d’apprentissage avec mes amis et collègues de l’université de Porto. Il m’a été donné de rencontrer personnellement un ami qui est sourd de naissance et lit parfaitement sur les lèvres. Ainsi j’ai pu comprendre ce qu’on nomme « la culture sourde » et apprécier la façon de la défendre dans notre monde, le monde des entendants duquel ils sont souvent rejetés ou mis à l’écart. Un de mes personnages, une jeune femme, est sourde. Mes lecteurs pourront ainsi découvrir quelques aspects de cette culture.

Je voulais également aborder les problèmes économiques avec les conséquences d’introduction de capitaux étrangers dans une entreprise. Plusieurs personnages travaillent dans l’entreprise que j’ai inventée. A Saint-Etienne l’entreprise Thuasnes est mondialement connu pour la réalisation de tissus et de produits médicaux tels ceintures, genouillères, etc … J’ai transposé à Tours l’existence d’une telle entreprise et je l’ai baptisée Tissus Dupuy. Sur du faux on peut bâtir du vrai !!

L’un des ressorts de ce roman est basé sur l’utilisation mensongère d’un test de stérilité. Mais là je n’en dirai pas plus. C’est là que se nourrit la vengeance que le titre évoque.

Et puis bien sûr ce roman se déroule en grande partie en Touraine puisque depuis juillet 2018 j’habite à Montrichard. D’ailleurs un meurtre est commis dans la forêt entre Amboise et Montrichard !!! Et je fais découvrir à Hervé Poitevin le plaisir du « miot » un jour d’été caniculaire !

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